Epsor est née de ma rencontre avec Benjamin Pedrini chez Société Générale. C’est la conjonction d’une amitié forte, d’une envie commune d’entreprendre et d’une idée un peu soudaine. Nous cherchions un moyen d’apporter une solution d’épargne plus simple, de démocratiser l’accès au conseil financier, d’apporter de la pédagogie sur un sujet qui en manque beaucoup. L’idée de l’épargne salariale et retraite est alors apparue. Une offre poussiéreuse, un marché concentré, un utilisateur final (le salarié) assez délaissé, un produit financier opaque, tous les ingrédients étaient au rendez-vous.
De l’idée du projet, nous avons travaillé longuement pour développer un produit, avec un volet technologique et un volet financier. Sur le premier pan, nous avons rencontré Julien Murgey avec qui nous nous sommes associés pour construire la plateforme à destination des entreprises et des épargnants. C’était très nouveau pour nous, partir d’une feuille blanche, c’était à la fois passionnant et vertigineux.
Sur le second pan, nous avons fait le choix d’agréger des expertises existantes auprès de partenaires reconnus pour leur solidité, très importante quand on parle d’épargne. Ainsi nous avons construit pendant plus d’un an un partenariat avec Société Générale, notre teneur de compte, pour brancher nos systèmes d’information et process. En parallèle nous avons travaillé avec des sociétés de gestion pour construire une offre de placements attractive pour les entreprises.
Ceci nous conduit à l’été 2018. Depuis, et après deux levées de fonds successives (novembre 2018 pour 1,3 MEUR – juillet 2019 pour 6 MEUR), nous avons recruté plus de 50 personnes, équipé un nombre toujours croissant d’entreprises et de salariés, développé de nouvelles fonctionnalités pour toujours mieux services nos clients.